Les autorités kenyanes font pression pour que les réfugiés somaliens retournent dans leur pays, maintenant qu’il est donné pour plus sûr qu’il ne l’était quand les seigneurs de guerre avaient le contrôle de Mogadiscio.
Mais pour de nombreux gays et lesbiennes somaliens, le retour n’est pas une option envisageable : les seigneurs de guerre ont transformé ce pays en couloir de la mort pour les gays et les lesbiennes
selon un journaliste.
Les membres des associations humanitaires ou de défense des droits civiques affirment en privé comme en public que le niveau de risque, les menaces, et l’hostilité à l’encontre des homosexuels, et des séropositifs s’est aggravé la situation des réfugiés au Kenya et de leur famille restée en Somalie.
Dans les cas d’exécution ou de discrimination, l’Etat somalien n’effectue pas d’enquête, et les supposés homosexuels ou séropositifs n’ont même pas la possibilité de se défendre.
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